Doublé gagnant pour Vasilis Kekatos à Cannes 

La Distance entre le ciel et nous repart avec La Palme d’Or et La Queer Palm.

Vasilis Kekatos (à droite) – Claire Denis (au milieu)

Le troisième court métrage de Vasilis Kekatos, s’est fait remarqué au 72eme Festival de Cannes. Ce film de 9mn mettant en scène une rencontre, un temps suspendu dans une station essence perdue en Grèce s’est vu récompensé de la Palme D’Or du Court Métrage, décernée par Claire Denis – Présidente du Jury – et la Queer Palme par Virginie Ledoyen.

Un beau parcours en festivals attend le film ! Vous pouvez découvrir le trailer ci-dessous :

Bande-annonce

C’est avec un immense plaisir que Shortcuts accompagnera le dernier court métrage de Vasilis Kekatos – La Distance entre le ciel et nous – en Compétition dans la catégorie Court Métrage du 72ème Festival de Cannes.

Il y est question d’une rencontre, d’un temps suspendu dans une station essence perdue en Grèce. Vasilis Kekatos, se joue ici de l’espace et des cadres pour faire vivre cette rencontre, entre séduction et provocation.

Le Festival se tiendra du 14 au 25 mai, à Cannes.

On espère vous y voir.

Trailer

Shortcuts représentera cinq courts métrages en Compétition Nationale au 41eme Festival du film court de Clermont-Ferrand 

En première mondiale, vous pourrez découvrir :

Nus dans les rues la nuit de Benoît Rambourg. Benoît Rambourg filme avec justesse le cap ou pas nocturne de Cédric et Sofiane. Une mise à l’épreuve initiatique de leur amitié.

Fatiya de Marion Desseigne Ravel. En s’immisçant dans la journée de Fatiya et Soukaïana, la réalisatrice nous plonge dans leur quotidien. Où leur identité et leur féminité s’éprouvent et se construisent.

Roberto, le canari de Nathalie Saugeon. Ce drame familial traite avec délicatesse de la maladie. Une maladie qui ne dit pas son nom mais qui inonde chaque membre de la famille.

Trailer Ricardo, le canari

La traction des pôles de Marine Levéel.  De près, Mickaël semble évoluer dans une nébuleuses de désirs : retrouver son cochon disparu, obtenir sa certification biologique, rompre sa solitude dans un désert de colza. Mais de plus loin, Mickaël a plutôt l’air d’être un point aimanté vers Paul.

Enfin, La Chanson de Tiphaine Raffier et Pauline asservie de Charline Bourgeois – Tacquet seront aussi présentés en Compétition Nationale.

On a hâte que vous les découvriez !!

Cette année deux films Shortcuts sont sélectionnés pour les Cesar du court métrage 2019.

« Les vies de Lenny Wilson » d’Aurélien Vernhes-Lermusiaux qui avait remporté le prix de la critique Télérama au dernier festival de Clermont Ferrand mais également le premier court métrage d’Alexandre Steiger, « Pourquoi j’ai écrit la Bible ».

Vous pourrez découvrir ces deux films le le Samedi 1er décembre 2018 à 10h00 au cinéma Le Balzac.

D’ici là, votez !

Revue de presse des films Shortcuts 

La Chanson de Tiphaine Raffier

« Un moyen-métrage entêtant » pour les écrans terribles

« La Chanson fait partie de ces court-métrages qui marquent, qui transcendent par leur effronterie et leur ingéniosité » pour Pierre Le Gall de Format Court

Pauline asservie de Charline Bourgeois-Tacquet

« Le coup de coeur «  des écrans terribles

« Pauline Enslaved is a brilliant short bursting with energy, intellect and a few good laughs » selon close-up Culture

Nous sommes ravis de vous apprendre que nous accompagnerons deux films à Cannes cette année.

👩‍🎤 Le fulgurant « La chanson » de Tiphaine Raffier concourra au sein de la prestigieuse compétition de La Quinzaine des réalisateurs, section court-métrage.

Les projections sont prévues le jeudi 17 mai à 15h30 au Théâtre Croisette et le vendredi 18 mai à 19h au Studio 13

💌 Le rafraîchissant « Pauline Asservie » de Charline Bourgeois-Tacquet sera pour sa part présenté dans le cadre de la sélection de La semaine de la Critique. 

Projections prévues pour la presse, les professionnels et le grand public :

Lundi 14 mai,  14h30, Espace Miramar (380 places). Présentation sur scène par le réalisateur

20h00, Espace Miramar (380 places). Projection officielle en présence de l’équipe du film

1 projection pour le grand public:

Mardi 15 mai : 20h30, Cinéma Les Visiteurs du Soir à Valbonne (230 places). Projection suivie d’un débat avec l’ensemble des réalisateurs

On espère sincèrement vous y voir très nombreux !

Nous sommes fiers d’apprendre que trois prix ont été décernés à deux des trois films distribués par Shortcuts et sélectionnés à la 40ème édition du festival international de courts-métrages de Clermont-Ferrand.

Le prix de la critique presse Télérama pour « Les vies de Lenny Wilson » d’Aurélien Vernhes Lermusiaux 

Prix ADAMI d’interprétation pour Sigrid Bouaziz dans « Les vies de Lenny Wilson » d’Aurélien Vernhes Lermusiaux

Prix SACD de la meilleure première oeuvre pour « Pourquoi j’ai écrit la Bible » d’Alexande Steiger

Bravo aux équipes des films !

Nous avons l’honneur de vous annoncer la sélection de trois de nos courts-métrages au Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand, qui aura lieu du 2 au 10 février 2018.

« Pourquoi j’ai écrit la Bible », le premier film du comédien Alexandre Steiger, nous raconte l’histoire de Francis, un homme d’une soixantaine d’années qui enchaine les frasques excentriques et de ses deux enfants, déterminés à l’accompagner coûte que coûte dans sa folie. Etrange, poétique, farfelu, « Pourquoi j’ai écrit la Bible » est une comédie au ton unique qui parle avec légèreté de sujet sérieux.

Un casting, une chanson, un grand barbu avec des rouflaquettes, un homme et une femme. « Les vies de Lenny Wilson » réalisé par Aurélien Vernhes-Lermusiaux, est une fable musicale dramatique et décalée. Lorsque Boris – joué par Benjamin Siksou – croise Julia – Sigrid Bouaziz – qu’il n’a pas vu depuis des années, le passé qu’ils avaient tous deux cherché à fuir ressurgit soudain.

Enfin, « Roujoula » du réalisateur Ilias El Faris nous emmène dans les rues de Casablanca et nous raconte l’histoire de deux frères qui ont pour  objectif commun de réunir l’argent nécessaire à acheter le mouton du sacrifice de L’Aïd Kebir. Quand la rivalité fraternelle se mêle au besoin de reconnaissance de deux hommes que tout oppose, un concours d’égo nait à l’écran.  Entre entre-aide et coups de crasse, « Roujoula » est brut, drôle, mais surtout touchant.

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